agathe bébé kiss

Témoignage d’Agathe, maman d’un bébé Kiss

Découvrez le témoignage d’Agathe, maman de Garance, un bébé souffrant du syndrome de Kiss

 

Je m’appelle Agathe. Je suis maman de quatre enfants et je suis infirmière dans la vie active. Garance est ma quatrième fille.

Après la naissance de Garance je me suis rapidement rendu compte qu’elle n’allait pas bien. J’étais tellement inquiète que je ne dormais plus et je ne mangeais presque plus. J’étais au bord de l’épuisement.

 

À la recherche de solutions…

 

Pendant cette période, j’ai cherché de nombreuses solutions mais en vain. J’ai consulté à de nombreuses reprises mon médecin traitant, un gastro-pédiatre car mon bébé avait de gros problèmes de reflux, une psychologue qui traite les traumatismes pendant la grossesse. J’ai aussi consulté une ostéopathe spécialisée dans les troubles des enfants nés par césarienne, et j’ai consulté une conseillère en lactation.

En dépit de toutes ces consultations, je me sentais très seule. Parfois il me semblait que les professionnels me culpabilisait et me faisait passer pour une mauvaise mère qui ne savait pas s’y prendre avec son enfant. Que j’étais folle. C’était vraiment très compliqué pour moi.

 

Enfin je suis prise au sérieux !

 

La première personne qui m’ai tendu la main, c’est cette conseillère en lactation. Elle a senti que j’étais à bout et elle a tout fait pour m’aider. Un jour, la veille de Noël, elle m’a téléphoné pour me donner l’adresse du cabinet du Dr Larcher à Avignon mais sans me garantir aucun résultat. Elle avait entendu parler de ce cabinet par un membre de sa famille. Je l’entends encore me dire “Il paraît qu’il y un médecin qui s’occupe du syndrome Kiss pour les enfants, et quand je vous entends parler de votre fille, ça m’y fait penser. Donc pourquoi pas aller le consulter si vous le pouvez. ».

À cette époque je n’avais jamais entendu parler du syndrome de Kiss mais je n’ai eu aucun doute. Je crois que j’étais tellement à bout que j’étais prête à faire le tour du monde pour trouver une solution pour ma fille !  Alors, j’ai tout de suite passé un coup de fil au docteur Larcher qui m’a répondu et il m’a donné un rendez-vous pour la semaine suivante. 8 jours plus tard, nous étions dans son cabinet. Je n’ai même pas pris le temps d’explorer le site web à la recherche d’information!

 

Kiss, une histoire de confiance

 

Immédiatement j’ai eu confiance. Le cabinet est agréable mais surtout je me suis sentie écoutée et entendue ! Le Dr Larcher, un peu paternaliste, a pris soin de moi et m’a rassurée. Non je n’étais pas folle, oui mon enfant avait un problème réel, non ses symptômes n’étaient pas le fruit de mon imagination. Enfin, j’étais prise au sérieux et c’était un tel soulagement pour moi que j’en ai pleuré !

Lors de la première consultation, j’avais entièrement confiance en dépit des hurlements de ma fille qui heureusement n’ont pas duré longtemps. Elle avait tellement mal en permanence qu’elle ne supportait pas d’être touchée et ne dormait presque pas. La séance a été difficile pour nous deux mais j’avais confiance. J’ai laissé faire le Dr Larcher et son collègue et j’ai offert un gros câlin à ma fille après coup.

 

Des effets immédiats du traitement sur le syndrome de Kiss

 

Immédiatement les effets sur le plan moteur ont été très rapides et visibles. Par exemple, elle s’est mise à rouler sur elle-même pour se mettre à plat ventre. Elle bougeait sa tête ce qu’elle ne faisait jamais avant. Et surtout elle souriait enfin ! Elle a commencé à babiller alors qu’elle avait déjà plus de 6 mois. `Mon entourage et moi étions bluffés !

Côté alimentation le changement a été très rapide. Vers la troisième séance, j’ai pu œuvrer mon bébé. Pour la première fois elle acceptait de manger autre chose et j’ai pu diversifier son alimentation.

Par contre, je n’ai pas observé d’effet immédiat sur le sommeil. De ce point de vue, l’évolution a été plus lente et nous avons eu 5 séances avant qu’elle ne s’endorme paisiblement parce qu’elle se rébloquait fréquemment.

Pendant les 3 jours qui ont suivi le traitement ostéopathique, et tous les traitement en fait, elle était plus agitée qu’avant. Elle pleurait beaucoup. Mais on voyait bien qu’elle ne souffrait pas, que c’était autre chose, peut-être un relâchement des tensions ?

 

Un cabinet bienveillant et attentif spécialisé dans le traitement du syndrome de Kiss

 

C’est aujourd’hui sans hésitation que je partage les coordonnées du cabinet d’Avignon autour de moi. D’ailleurs, tous mes enfants sont venus se faire soigner ainsi que moi-même et de nombreux amis sont revenus ravis de leur consultation.

Je pense que le Dr Larcher et son équipe sont des professionnels attentifs et bienveillants et à l’écoute. En plus de l’approche ostéopathique, j’ai eu des conseils médicaux pour lutter contre les reflux, les angoisses nocturnes… Ce qui est un réel avantage. Enfin, je me suis toujours sentie soutenue par l’équipe, avec des solutions alternatives qui m’ont toujours permis de soulager mon enfant ou moi-même.

C’est vrai que le terme « syndrome de Kiss » peut faire peur mais quand son enfant ne va pas bien, je conseille de laisser la peur de côté et de laisser parler l’amour.

Agathe

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